Cette année, nous avons interrogé plus de 5 000 personnes âgées de 18 à 54 ans dans cinq pays, avec 1 000 personnes aux États-Unis, au Royaume-Uni, en Allemagne, en France et en Espagne. L'analyse approfondie de leurs habitudes liées au sexe, à la masturbation et à l'utilisation de sex-toys a révélé certaines tendances continues en lien avec la pandémie, ainsi que quelques nouvelles découvertes intéressantes.
Dans notre deuxième année de suivi des perceptions de la masturbation pendant la pandémie, nous pouvons constater que le plaisir personnel continue de jouer un rôle important dans le bien-être des personnes. Parmi les personnes qui se masturbent et qui ont été confinées, près des deux tiers déclarent que la masturbation a été une bouée de sauvetage et a agi comme une forme d'auto-soin pendant la quarantaine. De plus, environ 40 % indiquent que la fréquence de leur plaisir personnel a augmenté au cours de l'année écoulée.
Le rapport de cette année a également révélé que les Américains et les Européens intègrent de plus en plus les sex-toys et la masturbation dans leur mode de vie. Environ 50 % déclarant avoir déjà utilisé un sex-toy, certains (environ 20 %) ont profité du temps supplémentaire pendant la pandémie pour enrichir leur collection de sex-toys, et 8 % supplémentaires ont acheté leur premier sex-toy pendant cette période.
Si certains ont commencé à consacrer plus de temps à l'amour de soi pendant la pandémie, pour beaucoup, cela fait depuis longtemps partie intégrante de leur routine hebdomadaire de soins personnels. Les hommes, en particulier, ont tendance à inclure la masturbation dans leur temps hebdomadaire pour eux-mêmes. Généralement, plus de femmes déclarent avoir une routine hebdomadaire de soins personnels, mais environ la moitié des hommes interrogés qui ont une routine hebdomadaire de soins personnels disent que la masturbation en fait partie, contre seulement un tiers des femmes.
Cette année, nous avons également voulu briser le récit commun selon lequel la masturbation serait d'une certaine manière "inférieure" comparée au sexe. Ainsi, nous avons demandé aux personnes aux États-Unis si elles préféreraient renoncer au sexe ou à la masturbation pendant un mois. Bien qu'il s'agisse de données spécifiques aux États-Unis, il s'avère que tout le monde ne préférerait pas le sexe à la masturbation puisque 35 % préféreraient renoncer au sexe. En particulier pour les personnes s'identifiant comme LGBTQ+, la masturbation semble être plus importante que d'avoir des relations sexuelles. Cela prouve que le plaisir personnel n'est pas une alternative ou un remplacement du sexe, mais qu'il a sa place pour beaucoup.
Chez TENGA, nous créons des articles de plaisir personnel et de bien-être sûrs et fonctionnels pour rendre la masturbation elle-même une expérience plus agréable et bénéfique.
L'année dernière a été marquée par des restrictions pour beaucoup. Le rapport de cette année a montré que de nombreuses personnes ont utilisé ce temps pour accorder plus d'attention à un domaine particulier : le plaisir personnel ! Nous sommes particulièrement heureux de voir combien de personnes ont saisi l'occasion non seulement d'expérimenter avec leur routine de soins personnels, mais aussi d'intégrer des sex-toys dans leur vie pour la première fois ou de compléter leur collection existante. Le résultat était assez clair dans tous les pays interrogés : les personnes ont rapporté que le plaisir personnel (65 %) et les sex-toys (56 %) les ont aidées à se sentir mieux et ont agi comme une forme d'"auto-soin" pendant la pandémie.
Avec de plus en plus de personnes qui réalisent que le plaisir personnel est une forme d'auto-soin, nous sommes fiers de jouer notre rôle dans la diffusion continue des bienfaits du plaisir !